Lorsque nous avons étéconfrontés pour la première fois auCorona virus l’année dernière,nous nous sommes posé la question desavoir comment les futurssalonspourraient avoir lieutout en protégeant lescollaborateurs etles visiteurs. Aucunsalon n’était envisageableetrapidement, les genss’attendaient à ce que les événementsn’aientplus jamais lieu comme avantla pandémie.Mêmesi la situations’améliorait, des termestels que « le nouveaunormal » sont apparus.
La réalité avait changé d’unseulcoup.
Après un anmaintenant, noussommesarrivés à une « nouvellenormalité » etnous ne la ressentonspluscomme sinouvelle, mais nous vivons avec.
Cette semaine, les chiffres d’uneétude aux États-Unis (Freeman) ont été annoncés. Cette étudemontreque 78% des personnesinterrogées souhaiteraient de nouveau visiter des salonsau 3ème et 4ème trimestre 2021. Cela représente 94 % des sondés. Du côté exposants les chiffres sont même légèrementplus élevé, entre80 et 95 %.
Parmi tous les répondants, 85% ont déclaré que les salons sont irremplaçables pour les affaires, la créationet le maintien de relations commerciales, ledéveloppementet la présentationd’idéesinnovantes.
En outre, de nombreuses industries connexes bénéficieront également du retour des salons commerciaux. L’industrie du voyage,l’hôtellerie, le tourisme, etc…
Quelques autres faits intéressants et marquants ressortent del’étude:
- Les personnes qui travaillent sont généralement plus disposées à se faire vacciner que le résident moyen des États-Unis. C’est parce qu’il ya une forte croyance en la contribution positive de la lutte contre le virus.
- Les entreprises qui sont actives dans laproduction, telles que les constructeurs de machines par exemple sont lesplus susceptiblesd’être prêts à se rendre sur des salons,suivis par la technologie, le commerce, lapharmacie et la santé.
- À l’heure actuelle, le retour des événements physique est attendu par 75 % des répondants. Comparativement à un creux historique de 40 % au printemps 2020.
- Environ 70 % des répondants s’attendent à ne plus avoir de restrictions de voyage au troisième trimestre (aux États-Unis).
L’Amérique n’est pas l’Europe. Mais nous remarquons également au travers des différentes conversations avec nos clients que nous avons une envie croissante pour un retours sur les événements en direct et les rencontre face-à-face. L’ère numérique a certainement montré des avantages, mais la technologie ne peut pas changer la nature de l’homme. La période numérique laissera certainement de bonnes traces, mais ne remplacera pas les évènements en direct.
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